[Parenthèse] Ma Première Fois Avec Un Dominateur (2/2)

- Maintenant, à genoux, salope !


J’obéis.


- Je veux que tu m’embrasses les pieds, en remerciant. Le cul tendu en l’air.


Je posai tendrement mes lèvres sur le dessus de ses pieds.


- Merci, Maître.


Il se baissa et m’asséna une énorme claque sur les fesses. En criant :


- Un peu d’originalité, bordel !


Je repris ma tâche en cherchant dans mon imagination :


- Merci de m’initier, Maître.


Nouveau baiser passionné sur les pieds.


- Merci de me dresser à être une bonne chienne.


Coup de langue. Baiser.


- Merci de m’avoir pris comme esclave.


Baiser.


- Merci de m’accorder votre temps pour faire de moi une soumise. Je ne vous décevrai pas, je serai docile.


Baiser, coup de langue.


- Très bien.


Nouvelle décharge de plaisir.


- Maintenant, tu vas remonter tout doucement, le longue de ma jambe jusqu’à ma queue, sans d’arrêter d’embrasser.



J’obéis. Tout doucement, baiser après baiser, je remontai le long de son tibia, puis de son genoux, puis de sa cuisse. Puis, enfin, je me trouverai le nez collé à son caleçon assombri en un endroit par une tâche humide.


- Très, très bien.


Grande décharge de plaisir.


- Maintenant, tu vas renifler ma queue, et l’embrasser, à travers le caleçon. Je veux que tu la fasses bien durcir. Elle aime les compliments.


Je reniflai, d’abord timidement. Puis, moins timidement. Puis, je l’embrassai. « Innocemment », je choisis de l’embrasse pile à l’endroit de la tâche humide.


- Votre queue est énorme, Maître. Je la sens durcir contre mon visage.


Je la humai.


- Elle sent bon… Je parie aussi qu’elle a très bon goût.




- Bien, très bien. T’es une bonne chienne.


Je sentais, moi aussi, ma queue durcir. Les compliments de Mouss y contribuaient grandement, il faut dire.


- Maintenant, tu vas baisser tout doucement mon caleçon, et tu vas continuer ce que tu faisais.


J’obéis. Doucement. Pas assez au goût de Mouss, visiblement, il se baissa, me prit la gorge et me colla une gifle.


- J’ai dit doucement !


- Pardon, Maître.


Je repris ma tâche, tout doucement. Centimètre, après centimètre, après centimètre, avide découvrir cette queue que j’avais tant complimentée. Et, enfin, elle se dévoila devant mon visage. Belle, grosse, presque parfaite. Mouss était circoncit, et son gland luisant de liquide pré-séminal.


Alors, comme un fou, je plantai mon visage contre cette queue à demi dure et je la reniflai à plein poumons, comme s’il s’agissait de la plus délicieuse des fragrances. Abruti par l’excitation, je ne pus m’empêche de lâcher un profond « mhmm », comme si je venais de goûter à un délice gastronomique.


Mouss éclata de rire.


Je pris sa queue en main, et posa délicatement mes lèvres sur son gland humide, les yeux fermés, comme s’il s’agissait d’un premier baiser. Lorsque je décollai mes lèvres de son gland, un sourire béat sur le visage, je sentis un mince filet gluant qui reliait ma bouche à sa queue. Gourmand, je me passai la langue sur les lèvres, afin de goûter ce précieux nectar.


Je reniflai encore une fois son gland, puis entrepris de descendre tout le long de sa verge, déposant des baisers passionnés à intervalles réguliers. Arrivé à la base de celle-ci, je tirai ma langue et, partant de sous ses couilles visiblement trop pleines, je remontai jusqu’au gland.


Une fois en haut, je voulu prendre cette queue en bouche, mais trop violentes claques plurent du ciel sur mes fesses.



- Je t’ai dit de sucer ?


- Non, Maître. Désolé, Maître.


- Tu t’en sors très bien, mais je veux que tu me supplies.


- Pitié, Maître. Puis-je sucer votre divine queue ? Ce serait un honneur pour moi de vous l’astiquer. Je vous en supplie, Maître. Je ferai tout ce que vous voudrez, mais par pitié, accepter de me laisser vous sucer.


Je commençais à être à cours de supplications, lorsque Mouss se décida à me répondre :


- C’est bon. Vas-y. Mais applique-toi, sinon je serai obligé de te punir.


Aveuglé par l’excitation, je pris sa queue, commençai à la branler à la base, puis entourai son gland de mes lèvres. Je commençai alors une lente descente le long de cette grosse queue si appétissante. Les lèvres bien en rond, j’essayais de serrer le plus possible la verge, tout en titillant la partie déjà entrée dans ma bouche avec ma langue.

Arrivé à un certain point, je me mis à tousser. Son gland tapait contre le haut de ma gorge. Loin de me décourager, je relevai la tête, ôtai sa queue presque entièrement de ma bouche, respirai un grand coup et repris ma besogne.

Je ne faisais pas attention, mais la salive coulait au coin de ma bouche sur mon torse. Peu m’importait, je savais qu’en venant chez Mouss, j’avais laissé toute dignité à l’entrée. D’ailleurs, c’était aussi bien ainsi. Me sentir dégradé m’excitait.

Je le suçai ainsi de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’il me prenne la tête et commence à me baiser la bouche de force en poussant des soupirs de plaisir.


Ne pouvant plus rien faire, je résolus de croiser mes bras dans mon dos, comme Mouss semblait m’ordonner souvent de faire.


Je toussais, je bavais, quand il se retirait un peu, j’en profiter pour inspirer autant d’air que possible, ne sachant pas quand la prochaine bouffée allait arriver.


Soudain, il me rejeta en arrière et alla s’asseoir dans le canapé.



- À genoux devant moi.


Aboya t-il, encore haletant. J’obéis et croisa mes bras dans le dos.

Mouss prit la chaîne qui reliait mes pinces et tire dessus pour que je me penche vers lui, de son côté, il se pencha aussi en avant pour me parler à quelques centimètres de mon visage, tout en tirant sur mes seins.


- Maintenant, tu vas avoir ta récompense. Je vais te baiser. Tu es content ?


- Oui, Maître ! Merci mille fois, Maître.


- Par contre, je suis fatigué. Alors c’est toi qui feras tout le travail.


Sur ces paroles, il ôta les pinces de mes seins, non avoir bien tiré dessus avant. Je gémis, car le moment où l’on retire les pinces, est le plus douloureux. Il les jeta plus loin.


- Bon, commence par aller chercher le lubrifiant dans le coin où je l’ai laissé tout à l’heure. À quatre pattes.


J’obéis, pris le lubrifiant et revins.


- Bien, donne-le-moi et mets toi à quatre pattes, le cul tendu.


J’obéis et il m’ôta le plug que j’avais déjà presque oublié.


- Maintenant, tu prends la capote qui est sur la table, et tu vas me la mettre.


J’obéis. J’enfilai le préservatif sur sa queue désormais bien dure.


- Bien. Montre-moi ton cul.


Il me lubrifia l’anus.


- Maintenant, tu vas t’asseoir sur ma bite. Vas-y à ton rythme, mais ne traîne pas trop, sinon je vais m’ennuyer. Et je déteste m’ennuyer.


- Bien, Maître.


Je commençai par prendre sa queue et étaler le gel sur mon anus. Ensuite, je ne résistai pas à l’envie de caresse son gland avec ma raie. J’entendais qu’il soupirait de plaisir, et que la manœuvre était, par conséquent, un succès.

Je me décidai enfin à pousser le gland en moi. Tout doucement. Sa queue était d’une taille conséquente et, bien qu’habitué, je ne voulais pas forcer le rythme.


Le lubrifiant et la gravité aidant, la pénétration ne fut pas si longue.

Lorsque mes fesses finirent par se poser sur le bas-ventre de Mouss, je lâchai un grand gémissement de plaisir. Je dessinai quelques cercles avec les fesses, histoire de bien sentir sa queue en moi, puis entrepris le voyage inverse. Tout doucement, là aussi. Puis, dans l’autre sens à nouveau.


J’étais dos à Mouss, bien cambré, mais je ne le voyais pas. Je n’entendais que ses soupirs, qui m’indiquaient que j’étais dans la bonne direction.


Je pris le rythme, les va et vient se faisaient plus rapides. Mouss posa ses mains sur mes fesses et commença à accompagner les rebonds de mon cul.


Là, sans m’arrêter de m’empaler sur sa queue, je me laissai aller au flux de mes pensées. Je me sentais comblé, tant sur le plan physique que moral. Depuis si longtemps, j’avais rêvé d’être soumis, à la merci d’un Mâle Alpha. J’étais, pour ainsi dire, servi. Petite salope aux pieds de Mouss, ce grand noir viril qui avait entreprit de me dresser à être son esclave. Je me sentais à ma place.


Tout à coup, Mouss m’attrapa, sans aucun mal vu ma carrure et la sienne, et me jeta sur le canapé.


- Tend le cul, allez !


J’obéis. Il se jeta sur moi, une jambe posée par terre, l’autre sur le canapé, et s’enfonça dans mon cul en un rien de temps. Il commença à me pilonner en m’assénant claque sur claque sur les fesses.

Je gémissais, mais il ne voulait rien entendre. Il avait bien raison : je n’avais pas prononcé le « mot magique », et c’était volontaire.


Ses coups de butoirs n’avaient rien à voir avec le moment où je me baisais moi-même sur son cul. Ils étaient rapides, brutaux, sauvages. Quand il ne me collait pas des fessées, ses énormes mains étaient crispées sur mes fesses et il enfonçait ses ongles dans ma chair.


Enfin, ses mouvements se firent plus saccadés, il se mit à râler et je sentis sa queue secouée de spasmes. Il jouissait.


Son orgasme dura plusieurs longues secondes, après quoi il s’allongea sur mon dos, sans prendre la peine d’ôter sa queue de mon cul. Il était haletant, son torse humide de sueur était chaud, collé contre mon dos, et il me caressait machinalement les tétons.


Après plusieurs minutes, il se releva et me lança :


- La salle de bain est là-bas. Va te laver, tu as le droit de te branler.


Je ne m’étais même pas aperçu que je n’avais pas pensé à me branler pendant qu’il me baisait. J’allai me doucher, et sous la douche, je me masturbai en me caressant le bout des seins. Les yeux fermés.


Je finis par jouir intensément, et pile à ce moment-là, Mouss éclata de rire. Absorbé dans ma masturbation, je n’avais même pas remarqué qu’il était entré dans la salle de bain.


- Tu te caresses toujours les tétons, quand tu te branles ? Allez, coupe l’eau. Il te reste encore une chose à faire.


Je coupai l’eau et me mis machinalement à genoux devant lui. Il avait ôté le préservatif, mais sa queue était toujours plein de sperme.


- Tu vas me nettoyer ça avec la bouche.


Juste après avoir joui, j’avais été saisi d’un terrible sentiment de honte, en même temps que la redescente sur terre.

Je fus pris d’une seconde d’hésitation, mais Mouss me rappela à l’ordre :


- Allez !


J’obéis et lui nettoyai la queue avec la langue. Bien vite, l’envie me revint et je me sentis à nouveau soumis, avec plaisir.


Quand sa queue fut bien propre, il remit l’eau et nous nous lavâmes mutuellement, tendrement, il n’était plus question de domination.


Après la douche, nous discutâmes longtemps de nos ressentis respectifs sur la séance, et c’est seulement après cette discussion, qu’il m’ôta le collier et m’autorisa à me rhabiller et à rentrer chez moi.


Je ne vois plus Mouss aujourd’hui, mais c’est lui qui m’a initié sur le chemin de la soumission, et qui a commencé mon dressage. Il m’arrive encore souvent de penser à lui.


D’ailleurs, Mouss, si vous me lisez, ce serait un plaisir de vous présenter à Monsieur S, mon Maître.

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